JournalSaison 4

L’invention de la réu-piscine

On a tous passé une très mauvaise nuit. On sait pas si c’est la lune (il paraît que parfois c’est la lune) ou quelque chose d’autre, mais on a peu et mal dormi.

Malgré ça on a la patate, car ce matin on continue le point d’étape avec Lucie et Josselin. Au programme : revue de nos tâches quotidiennes, de nos méthodes de travail, et surtout de nos méthodes de communication au sein de l’équipe. On identifie les bonnes pratiques, mais aussi les mauvaises habitudes pour pouvoir les éviter par la suite.

C’est aussi un moment privilégié pour des discussions en face-à-face entre membres de l’équipe. L’occasion d’évoquer toutes les petites frustrations accumulées en 3 mois de voyage 24h/24 dans la promiscuité, de dire les siennes à haute voix, d’écouter celles des autres, et d’y trouver ensemble des solutions réalistes.

Pour profiter d’un cadre agréable, on s’était installés à la terrasse d’un café d’hôtel de luxe. Pendant un moment, on réfléchit à y déjeuner, car la carte est alléchante, mais les prix tout aussi dissuasifs… Direction le Mall of the Emirates : un immense centre commercial avec un supermarché Carrefour (cocoricooo), une piste de ski avec des pingouins (bouuuh, la planète), mais surtout un foodcourt relativement abordable.

Après le déjeuner, on est tous les quatre pris d’une soudaine envie de faire la sieste. Et on se rappelle qu’avec la nuit qu’on vient de passer c’est assez logique. On rentre donc à la maison pour se reposer avant de s’adonner à notre nouveau concept préféré : la réu-piscine.

On doit avoir une grosse discussion sur le format de nos vidéos et sur notre stratégie de séduction des médias. Alors autant lier l’utile à l’agréable et le faire dans la piscine. On prend en note dans nos têtes !

Enfin, Josselin et Lucie nous invitent à les rejoindre à nouveau pour un verre/dîner au Madinat Jumeirah, un complexe hôtelier de luxe au bord de la mer. Autant vous dire que le café du midi était hyper accessibles en comparaison du bar principal du Madinat. On s’exile donc tous les six dans un bar beaucoup plus sympa (comprendre : moins cher) avec un concert de musique live. Portés par les reprises de Mickael Jackson, Stevie Wonder ou Abba, on passe une merveilleuse soirée à la lumière des bougies… et des rires !

Vincent

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Point d’étape